mercredi 28 décembre 2011

Journal de bord

Hi bro !

Je me lance dans un petit journal de bord de mon voyage !

Lundi

J’ai passé un entretien le matin, et j’ai décroché un stage à Unitec, de mars à août ! Je rentrerai en France juste après.

J’ai pris l’avion le soir, et je suis arrivé à Wellington aux alentours de 19h. J’ai trouvé un bus, et je suis descendu un peu au hasard au centre-ville, pour cherche une auberge de jeunesse. A peine avais-je dégainé mon plan qu’un brave homme est venu me proposer son aide. Même pas le temps de dire oui, qu’il m’avait indiqué 4 backpacker’s. A peine le temps de le remercier qu’un autre gaillard vient me proposer son aide. Je lui explique que son prédécesseur m’a indiqué où aller, il a donc insisté pour m’y accompagner. Je suis donc arrivé dans un hôtel d’apparence assez nul, ce qui se retrouvait bien à l’intérieure. J’ai atterri dans une chambre avec un groupe d’allemands qui partaient au milieu de la nuit, et qui de toute évidence, n’avait pas l’intention de dormir avant. J’ai quand même pu dormir un peu.

Mardi

Je suis allé le matin à l’ambassade, pour essayer de m’inscrire sur les listes électorales, ou au moins d’établir une procuration, pour les élections de 2012. Malheureusement, la brave dame m’a expliqué qu’il me fallait un logement pour voter, et que pour établir une procuration, il me fallait m’inscrire sur les listes de Limoges. Une fois cela fait, il me fallait revenir à Wellington (point de procuration par courrier). J’ai donc renoncé, ne pouvant revenir à l’ambassade avant le 31 décembre. Ô rage ! J’espère que mes compatriotes voteront bien.

L’après-midi, je suis allé au musée national, mais un peu déprimé par le climat et les nouvelles du matin, je n’en ai guère profité.

Mercredi

J’ai mieux dormi, étant seul dans mon dortoir durant la nuit. J’étais donc un peu plus en forme pour aller visiter les jardins botaniques de Wellington. Ils sont accessible par « cable car » alias funiculaire, mais votre serviteur, économe comme pas deux, a tenté d’y aller à pied. Ce qui s’est révélé tellement facile que j’en ai rapidement conclu que ce funiculaire n’est qu’un autre piège à touriste. Je le redis : il y a ici des tas de choses bien à faire, souvent gratuitement, mais les offices de tourismes locales trouveront toujours le moyen de vous faire payer des tas de trucs inutiles.

Ayant fait le tour plus rapidement que prévu, je suis retourné au musée l’après-midi. Un peu plus en forme, j’y ai trouvé beaucoup plus d’intérêt. Mais je dois avouer que l’histoire de la Nouvelle Zélande, et des tribus Maoris m’a finalement beaucoup moins intéressé que les animaux empaillés au 2ème étage, ou les tableaux, et même (à ma grande surprise) la collection d’art moderne. (L’influence Maori dans l’art moderne ou abstrait, les deux que je n’aime pas, donne en fait un bon résultat ! Enfin je n’ai pas de photos, j’essaierai d’en trouver sur le net. Un article artistique à venir ? Tout est possible !).


Jeudi

Malgré toutes mes recherches sur internet ou aux offices de tourismes (i-sites), je n’ai pas trouvé un seul bus qui puisse m’emmener au terminal du ferry. Le site de l’Interislander suggère chaudement de prendre un taxi. J’ai donc décidé de ne pas l’écouter, et de tenter le trajet à pied. Je me suis donc levé fort tôt, ai mis mes 30kg de sac sur mon dos, et ai pris la route. Cela s’est relevé pas si simple, car la route pour y aller n’est pas du tout adaptée aux piétons, et traverse une zone industrielle assez glauque. J’ai quand même réussi à trouver mon chemin, et suis arrivé à temps pour le check-in.

Le voyage a été beaucoup plus réjouissant : avec un magnifique ciel bleu et un grand soleil, j’ai pu profiter joyeusement du trajet pour courir de pont en pont pour prendre des photos de tous les côtés. Le voyage dure trois heures, longe la côte sud de Wellington, puis vire de bord vers le sud et se dirige vers Picton en voyageant entre des iles, et des petites montagnes. Un décor tout à fait sympathique donc.

Arrivé à Picton, j’ai posé mes affaires dans un backpacker’s beaucoup plus accueillant cette fois. Picton est une toute petite ville, entre la mer et les montagnes, avec une ambiance très relax. J’y aurai bien passé quelques jours de plus. Mais ne restant qu’une nuit, je suis rapidement parti me mettre en quête d’une balade. J’en ai trouvé une, d’une heure et demi, dans les bois, et avec pas mal de grimpette. Une bonne mise en jambe pour les vacances. Après ça, j’ai passé un peu de temps à l’auberge de jeunesse, me suis préparé un petit pique-nique, et ai pris un petit sentier vers Bob’s Bay. C’est une balade d’une petite demi-heure dans les bois, qui débouche sur une plage très isolée, où j’étais absolument tout seul, vraiment tranquille. Je ne me suis toutefois pas jeté dans l’eau tout nu tel un hippie, car il commençait à faire froid. Je me suis contenté de manger mon pique-nique sagement en regardant passer les bateaux.

Vendredi

J’ai commencé la journée pour une autre petite balade le matin, toujours sous le soleil de Picton. Je suis revenu pour prendre mon bus à 14h, et je suis arrivé à Nelson, après deux heures de routes sinueuses dans la montagne, ou le long des vignobles du Marlborough. J’ai tourné un peu dans la ville avant de trouver mon backpacker’s, le ‘Palace’. C’est très sympa, le bâtiment est assez ancien, et très décoré, avec des tas de tableaux, de poster etc… Sans oublier le sapin de Noël. Pas grand-chose de bien palpitant à raconter pour le moment !

Vendredi 23 décembre

J’ai commencé la journée pour une autre petite balade le matin, toujours sous le soleil de Picton. Je suis revenu pour prendre mon bus à 14h, et je suis arrivé à Nelson, après deux heures de routes sinueuses dans la montagne, ou le long des vignobles du Marlborough. J’ai tourné un peu dans la ville avant de trouver mon backpacker’s, le ‘Palace’. C’est très sympa, le bâtiment est assez ancien, et très décoré, avec des tas de tableaux, de poster etc… Sans oublier le sapin de Noël. Pas grand-chose de bien palpitant à raconter pour le moment !

Samedi 24 décembre

Pour ne pas errer pendant des heures avant de me lancer dans la randonnée du jour, j’ai decidé de passer à l’i-site. Bien que la ville soit entourée de montagnes, il y a en tout et pour tout quatre sentiers de randonnée, dont deux… dans la ville. J’ai donc préparé mon pique-nique, et suis parti de bonne heure, le départ du premier sentier étant à une heure de marche de mon backpacker’s. Arrivé là-bas, après une marche fastidieuse, j’apprends que le sentier est fermé… Un peu énervé de perdre mon temps, et en me disant que les gens de l’i-site devraient en être informé, pour pouvoir m’en informer aussi, je marche encore une demi-heure en ville vers l’autre sentier. Fermé aussi. Pas d’explications, juste un panneau d’accès interdit. J’ai réalisé un peu plus tard que c’était à cause de la tempête de la semaine dernière. Je suis donc revenu bredouille dans mon auberge de jeunesse.

Je passe rapidement sur les non-événements des jours suivants. J’ai mangé du saumon fumé tout seul pour Noël, mais le lendemain a été un peu plus joyeux avec le repas organisé par le Backpackers. Petit bémol, le déjeuner, que j’attendais avec impatience, est arrivé à… 19h30. Je n’ai donc rien fait de la journée. J’ai cependant eu le temps de passer quelques coups de fil sympas. J’ai pris le lendemain un bus pour Motueka. Ville très inintéressante, mais avec cependant une bonne balade le long de la mer. J’ai retrouvé là-bas Céline, le mardi après-midi, et je vais maintenant commencer la deuxième phase de mon séjour, en binôme, et avec une voiture, ce qui élargit considérablement mon périmètre d’action. Nous sommes ce soir à Marahau, aux portes du Parc National Abel Tasman.

1 commentaire:

  1. Super ce début de voyage !! Et que de progrès en anglais, un article suuuuuuper long ! Heureusement qu'on peut lire la traduction après, pour vérifier qu'on a bien compris ;)
    Tu es parti pour faire tout le tour de l'île là ? J'ai hâte de lire la suite ! Bisous cousin !!!! Enjoy your trip !

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